Au XIXe siècle, en ville, les fermiers conduisent leurs troupeaux de vaches, chèvres et ânesses devant la porte de leur client où ils procèdent à la traite. Dans les grandes villes, la vente du lait « au pis » pour les chèvres et les ânesses a persisté jusque dans les années 1910. © Crédit photo : Attelage-Patrimoine.
En 1880, du lait sur pattes au Jardin public de Bordeaux
Promenons-nous dans le passé de Bordeaux à la découverte des histoires qui se cachent derrière les façades de la ville, sous les dalles de ses places et le bitume de ses rues.
Le saviez-vous ? A la fin du XIXe siècle, dans le Triangle d’or, on buvait (presque) le lait au pis de la vache.
En novembre 2019, la première laiterie urbaine et biologique de Bordeaux ouvrait rue des Douves, près du marché des Capucins.
Depuis, la laiterie « Burdigala » confectionne mozzarellas, burratas et autres ricottas, préparés sur place à partir d’un lait bio récolté deux fois par semaine au village charentais de Bors-de-Baignes, à 45 minutes de Bordeaux.
Une aubaine pour les amateurs de produits laitiers frais et une belle initiative écologique et gourmande, même si, au regard de l’Histoire, il ne s’agit tout-à-fait d’une vraie première.
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Auteure : Par Cathy Lafon
Source :
Publié le 02/08/2020
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